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D’origine française, la machine est à la pointe de la technologie et à la mode à l’époque : l’infrarouge (ses deux joysticks et son clavier sans fil), un processeur sonore offrant des possibilités infinies en matière de synthèse vocale et une compatibilité utile avec le Minitel.
L’ EXL 100 aura cependant moins de succès que ses concurrents, en particulier en raison de la fragilité de l’ensemble : boitier trop fin, connection infrarouge douteuse (notamment parce que chaque périphérique doit avoir ses propres piles), etc...
Son processeur, fabriqué par Texas Instruments, mais utilisé par aucun autre micro, lui vaudra une logithèque squelettique car les programmeurs les connaissent trop mal.
Le Basic a du bon (caractère complet, éditeur efficace) et aussi du mauvais (lenteur, effacement du programme par simple appui sur la touche Reset, difficulté à gérer le son).
Son modem, qui arrive enfin car longtemps promis, transforme l’ EXL 100 en Minitel intelligent (sauvegarde des pages etc...).
Il y a beaucoup de raisons au semi-
Toujours est-
EXL 100
Constructeur : Exelvision
Année de commercialisation : 1984
Deux microprocesseurs : TMS 7041 et TMS 7020
RAM : 34 Ko (dont 32 Ko disponibles pour l’utilisateur)
Clavier : infrarouge
Affichage : 320 x 250 en 8 couleurs
Mémoire de masse : aucune en série
Lecteur de disquettes 3,5 pouces en option
Son : synthétiseur vocal français
Prix : 3 190 frs
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