Image écran de CROCKY 2, de Loriciels
Image écran de JEU DE DAMES, de Loriciels
Image écran de DELTA
Image écran de SORCERY 2
Contrôleur d’extensions SX 90-
Côté droit et face arrière
Extension mémoire 64 Ko
Successeur du TO7, le MO5 n’en renouvellera pas le succès. Il sera néanmoins choisi
par TF1 comme support de ses émissions d’initiation à l’informatique. Son catalogue
à vocation éducative le place parmi les meilleurs micros pour la maison ou pour l’école.
Il intègre en outre un bon Basic Microsoft qui permet la saisie des mots-
Le MO5 est doté d’un clavier mécanique. L’alimentation est externe et le magnétophone à cassette est spécifique : vous devez acheter celui fourni par Thomson et nul autre. C’est irritant, parce qu’il est cher et trimballe lui aussi une alimentation externe. Son manuel est tout à fait adéquat pour un novice. Il présente une résolution graphique de très bonne qualité. Un périphérique lui permet d’incruster l’écran informatique sur l’image de la télévision. Le crayon optique, en option, facilite la communication avec la machine.
Une prise permet de brancher imprimante et manette de jeux, alternativement. Mais
la connexion n’est pas le point fort du MO5. Pour étendre ses possibilités, il faudra
se munir d’un boitier d’extension, qui lui ouvrira la porte des périphériques du
TO7-
THOMSON MO5
Date de naissance : juin 1984.
Fabricant : Thomson.
Microprocesseur : MC 6809 E à 1 Mhz.
RAM : 48 Ko. Mémoire utilisateur : 32 Ko. ROM : 16 Ko.
Unité centrale : 2 390 frs.
Crayon optique : 195 frs.
Clavier : Azerty, 57 touches en caoutchouc ou clavier mécanique.
Affichage : 25 lignes de 40 colonnes en 16 couleurs.
Mode graphique : 320 x 200 points.
Mémoire de masse : aucune en série.
Son : 1 voix sur 6 octaves.
-
Points faibles : magnétophone à cassette perfectible et alimentation externe.
Contrôleur nanoréseau Type NR07005.
Fabricant : Léanord.
Le nanoréseau est un système permettant de connecter jusqu'à 31 micro-
Suite au plan informatique pour tous, le nanoréseau a été mis en place en France en 1985 dans les lycées, les collèges et dans une école sur cinq.
Le nanoréseau a été conçu en 1982 par l'Université des sciences et technologies de Lille, puis développé et industrialisé par une société de la banlieue lilloise, Léanord. Il a été pensé spécifiquement pour une application à l'enseignement, avec des contraintes particulières : faible coût, robustesse, simplicité de la connectique, vitesse de transfert suffisante pour éviter les temps morts. Cependant, sa destination scolaire relâchait d'autres contraintes : pas plus d'une trentaine de postes à connecter et distances faibles.